Quelques mois après la sortie de « Demi Moore » et « Vivement quoi », Asinine revient avec un nouveau projet : « Brûler la maison ». Sorti le 29 avril, cet EP de 5 titres vient confirmer le statut de la marseillaise en tant qu’artiste phare de la nouvelle génération.
Depuis ses débuts, Asinine combine la qualité de son écriture à la puissance de son interprétation. « Brûler la maison » n’y fait pas exception : on y retrouve des textes poignants accompagnés d’un travail approfondi sur les placements et les variations de voix. Là où son nouveau projet se démarque, c’est sur la cohérence et le goût du détail.
Un EP Introspectif et Mélancolique
Toutes les productions, intégralement signées Briacsevere et partiellement Horaze, portent la même couleur musicale et se fondent parfaitement avec sa voix (avec une mention spéciale pour le très bon Afterlife qui nous emmène vers des notes un peu plus dansantes).
“Comme une biche devant les headlights” – Afterlife
Avec le clip de « Deux ailes de cire », elle vient peaufiner encore plus l’univers général de l’EP : les visuels, qui semblent tout droit sortis d’un film de Tim Burton, collent parfaitement avec l’atmosphère mélancolique, sombre et poétique des textes.
Tout au long des 5 titres, Asinine explore ses tourments face à la fatalité de l’existence, pour nous livrer un EP introspectif mélancolique et puissant.
“J’ai pas besoin d’plus de temps pour savoir c’qui m’intoxique” – Deux ailes de cires
“J’écris des promesses dans le sable / Comme si j’avais pas vu les vagues” – Brûler la maison
